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Colique néphrétique
La colique néphrétique est une douleur intense et brutale, souvent comparée aux douleurs d’accouchement, causée par le blocage d’un calcul rénal dans les voies urinaires. Ce blocage empêche le rein d’évacuer correctement l’urine, provoquant ainsi une distension douloureuse des voies urinaires.
La colique néphrétique est une urgence médicale qui nécessite une prise en charge rapide pour soulager la douleur et éviter des complications plus graves.
Le Dr Bahi, spécialiste en urologie à l’Institut d’Urologie de Marne la Vallée, vous explique les causes, les symptômes et les traitements disponibles pour cette pathologie.
Qu’est-ce qu’une colique néphrétique ?
La colique néphrétique est une douleur intense causée par le passage d’un calcul rénal, ou pierre au rein, dans les voies urinaires. Le calcul, lorsqu’il se bloque dans l’uretère, crée une pression accrue dans le rein qui ne parvient plus à éliminer l’urine.
Cette pression est à l’origine de la douleur aiguë ressentie au niveau des lombaires et pouvant s’étendre vers l’abdomen et les organes génitaux.
Pourquoi la colique néphrétique provoque-t-elle une douleur intense ?
La douleur de la colique néphrétique provient de la distension des voies urinaires, et plus particulièrement de l’uretère, causée par l’obstruction du flux d’urine. Lorsque l’urine ne peut pas être correctement évacuée, le rein gonfle et exerce une pression sur les terminaisons nerveuses, déclenchant une douleur souvent insoutenable.
Cette douleur peut apparaître de manière soudaine, sans signe avant-coureur, et s’intensifie rapidement, devenant difficile à supporter.
L’anatomie des voies urinaires et son rôle dans la colique néphrétique
Les voies urinaires jouent un rôle essentiel dans l’élimination des déchets du corps. Elles comprennent plusieurs organes :
- Les reins : Organes en forme de haricot situés de part et d’autre de la colonne vertébrale, sous les côtes. Ils filtrent le sang pour éliminer les déchets et l’excès de liquide, formant ainsi l’urine.
- Les uretères : Tubes étroits d’environ 25 à 30 cm qui transportent l’urine des reins vers la vessie. Leur étroitesse les rend vulnérables aux blocages causés par les calculs.
- La vessie : Organe creux situé dans le bassin qui stocke l’urine jusqu’à ce qu’elle soit éliminée par l’urètre.
Comment se forment les calculs rénaux ?
Les calculs rénaux se forment lorsque certains minéraux ou substances présentes dans l’urine se concentrent et cristallisent. Ces cristaux peuvent croître et former des calculs de tailles variables, allant de quelques millimètres à plusieurs centimètres. Il existe plusieurs types de calculs rénaux :
Les calculs de calcium
Les calculs de calcium sont les plus courants et se forment généralement à partir de l’association du calcium avec l’oxalate ou le phosphate. Ils peuvent être dus à une consommation excessive de calcium, une absorption élevée d’oxalates ou des troubles métaboliques.
Les calculs d’acide urique
Ces calculs se développent lorsque les niveaux d’acide urique dans l’urine sont trop élevés, souvent à cause d’une alimentation riche en protéines animales ou en purines. Les personnes atteintes de goutte sont plus susceptibles de développer ce type de calcul.
Les calculs de cystine
Plus rares, les calculs de cystine sont liés à une maladie génétique appelée cystinurie, qui provoque une accumulation de cystine, un acide aminé, dans les urines. Les calculs de cystine sont souvent récurrents et nécessitent une surveillance médicale étroite.
Facteurs de risque associés à la formation de calculs
Plusieurs facteurs peuvent augmenter le risque de formation de calculs rénaux. Les principales causes incluent :
Déshydratation
Un manque d’hydratation est l’un des principaux facteurs de risque. Boire insuffisamment d’eau augmente la concentration des minéraux dans les urines, facilitant ainsi la formation de cristaux. Pour éviter ce risque, il est essentiel de boire au moins 2 litres d’eau par jour, et davantage en cas de chaleur ou d’activité physique intense.
Alimentation déséquilibrée
Une alimentation riche en sel, en protéines animales, en sucre raffiné ou en oxalates (comme les épinards, le chocolat ou les noix) peut favoriser la formation de calculs. Adopter une alimentation équilibrée, riche en fruits, légumes et fibres, aide à réduire ce risque.
Conditions médicales spécifiques (hyperparathyroïdie, goutte)
Certaines maladies augmentent le risque de développer des calculs rénaux. L’hyperparathyroïdie, par exemple, entraîne un excès de calcium dans le sang, tandis que la goutte augmente les niveaux d’acide urique. Ces conditions nécessitent un suivi médical particulier pour prévenir la formation de calculs.
Symptômes de la colique néphrétique
La colique néphrétique se manifeste principalement par une douleur aiguë, intense et soudaine, localisée dans la région lombaire, sous les côtes, et d’un seul côté du corps (gauche ou droit). Cette douleur, souvent comparée à celle d’un accouchement, peut irradier vers le bas de l’abdomen, l’aine, et les organes génitaux.
La particularité de cette douleur est qu’elle ne s’atténue pas avec les changements de position et reste constante ou s’intensifie par vagues.
Autres symptômes associés (hématurie, nausées, pollakiurie)
Outre la douleur intense, la colique néphrétique peut s’accompagner d’autres symptômes qui varient en fonction de la localisation et de la taille du calcul :
- Hématurie : La présence de sang dans les urines, visible à l’œil nu (urines rouges ou rosées) ou détectée par une analyse, est fréquente. Elle est causée par le frottement du calcul contre les parois de l’uretère.
- Nausées et vomissements : L’intensité de la douleur peut provoquer des nausées, voire des vomissements.
- Pollakiurie : L’envie d’uriner fréquemment, même avec de petites quantités, et une sensation d’urgence (urgenturie) peuvent survenir si le calcul est proche de la vessie.
Diagnostic médical de la colique néphrétique
Examen clinique et anamnèse : Que va vérifier votre médecin ?
Lors de la consultation, le médecin commence par interroger le patient sur ses symptômes, notamment la localisation, l’intensité, et la durée de la douleur. Il cherchera également à savoir si le patient présente d’autres symptômes tels que la présence de sang dans les urines, des nausées ou une diminution du volume urinaire. L’examen clinique permettra au médecin de repérer les zones douloureuses et d’évaluer l’état général du patient (signes de déshydratation, fièvre, etc.).
Analyses d’urine et prise de sang pour confirmer le diagnostic
Les analyses d’urine sont essentielles pour rechercher la présence de sang (hématurie) et détecter une infection associée. Une prise de sang permet de vérifier la fonction rénale (taux de créatinine) et de rechercher des signes d’inflammation ou d’infection (élévation des globules blancs). Ces examens sont souvent réalisés en complément de l’examen clinique pour confirmer la présence d’un calcul.
Imagerie médicale pour localiser le calcul rénal
Scanner sans injection (TDM)
Le scanner sans injection, également appelé tomodensitométrie (TDM), est l’examen de référence pour diagnostiquer une colique néphrétique. Il permet de localiser précisément le calcul, de mesurer sa taille et d’évaluer le degré d’obstruction dans l’uretère. C’est l’examen le plus fiable, capable de détecter même de petits calculs invisibles à l’échographie.
Échographie rénale
L’échographie rénale est souvent utilisée chez les femmes enceintes ou pour un diagnostic rapide, mais elle est moins précise que le scanner. Elle permet néanmoins de visualiser les reins et de détecter une dilatation (hydronéphrose) causée par un blocage des voies urinaires.
Autres examens d’imagerie en cas particulier
D’autres examens, comme la radiographie de l’abdomen ou l’urographie intraveineuse (UIV), ne sont plus systématiquement utilisés en pratique courante. Ils peuvent toutefois être indiqués dans certains cas spécifiques ou lorsque d’autres méthodes ne sont pas disponibles.
Situations urgentes nécessitant une intervention médicale
Fièvre ou signes d’infection rénale
La présence de fièvre, associée à une douleur lombaire et des frissons, est un signe alarmant. Cela peut indiquer une infection des voies urinaires ou des reins (pyélonéphrite), qui, si elle n’est pas traitée rapidement, peut entraîner des complications graves comme une septicémie.
Anurie : Absence d’urine
L’anurie est l’incapacité à uriner, ce qui peut se produire lorsque le calcul bloque totalement le flux urinaire. Si les deux reins sont affectés ou en cas de rein unique, cette situation devient critique, car l’accumulation d’urine peut entraîner une insuffisance rénale aiguë.
Douleur intense résistante aux traitements médicamenteux
Dans certains cas, la douleur de la colique néphrétique peut être si intense qu’elle ne répond pas aux traitements antalgiques classiques. Cela peut nécessiter une intervention chirurgicale d’urgence ou l’administration de médicaments plus puissants, comme des opioïdes.
Cas spécifiques (grossesse, insuffisance rénale, malformations)
Les patients présentant des conditions médicales particulières, telles qu’une grossesse, une insuffisance rénale chronique, ou des malformations congénitales des voies urinaires, nécessitent une prise en charge immédiate et adaptée. Ces situations sont plus délicates à traiter.
Attention : Si vous êtes dans l’une de ces situations, vous devez sans tarder vous rendre au service d’urgences le plus proche de chez vous ou appeler le 15.
Traitement de la colique néphrétique : soulager la douleur
Le soulagement de la douleur est la priorité lors d’une crise de colique néphrétique. Divers médicaments peuvent être utilisés pour atténuer la douleur, en fonction de sa sévérité et de la réponse du patient aux traitements.
Antalgiques
Les antalgiques, comme le paracétamol ou le tramadol, sont souvent utilisés en première intention pour soulager la douleur légère à modérée. Ils peuvent être administrés par voie orale ou intraveineuse, selon l’intensité de la douleur et la situation du patient. En cas de douleur très intense, des médicaments plus puissants, tels que des opioïdes (morphine), peuvent être nécessaires.
Anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), comme l’ibuprofène ou le kétoprofène, sont particulièrement efficaces pour réduire la douleur de la colique néphrétique. Ils agissent en diminuant la production d’urine par le rein, ce qui réduit la pression dans les voies urinaires et soulage la douleur. Cependant, leur utilisation doit être surveillée, car ils peuvent entraîner des effets secondaires, notamment des troubles digestifs ou une insuffisance rénale en cas d’utilisation prolongée.
Traitement alphabloquant pour faciliter l’élimination
Les alphabloquants, souvent prescrits pour les troubles de la prostate, peuvent être utilisés pour détendre les muscles de l’uretère et faciliter le passage du calcul. Leur efficacité reste controversée
Importance d’une hydratation contrôlée pendant la crise
L’hydratation est cruciale pour aider le calcul à s’éliminer naturellement. Cependant, pendant une crise de colique néphrétique, il est important de ne pas boire de grandes quantités d’eau d’un seul coup, car cela pourrait aggraver la douleur en augmentant la pression dans les reins. Il est conseillé de boire régulièrement de petites quantités d’eau pour favoriser l’écoulement des urines sans déclencher une douleur supplémentaire. Une hydratation insuffisante peut également causer des problèmes de déshydratation, ce qui complique la gestion de la crise.
Traitement du calcul
Une fois la crise de douleur soulagée, il convient de procéder au traitement de la cause c’est-à-dire du calcul qui obstrue l’uretère.
Surveillance
Certains calculs peuvent s’évacuer seuls. Ils partent dans ce cas avec les urines au moment d’une miction. Il convient de filtrer les urines, par exemple en urinant à travers une compresse de gaze ou un filtre à café. Cela permet de récupérer le calcul s’il s’évacue. En fonction de la taille du calcul, de sa localisation mais aussi de facteurs propres à chaque patient, l’urologue peut décider de laisser une chance au calcul de s’évacuer seul ou à l’inverse d’intervenir rapidement. Cette évaluation par l’urologue est absolument fondamentale et doit avoir lieu le plus rapidement possible après la crise, idéalement dans les 48-72 heures.
Options chirurgicales pour traiter un calcul rénal bloqué
Sonde double J : Une solution temporaire en cas d’urgence
La sonde double J, ou sonde JJ, est souvent la première solution en cas de crise sévère ou d’urgence. Elle consiste à insérer un petit tube en plastique entre le rein et la vessie, permettant ainsi aux urines de s’écouler normalement malgré la présence d’un calcul. Cette intervention est réalisée sous anesthésie générale et permet de soulager rapidement la douleur en réduisant la pression sur le rein. La sonde peut rester en place plusieurs semaines, le temps de planifier un traitement définitif du calcul.
Urétéroscopie : Une approche endoscopique pour retirer les calculs
L’urétéroscopie est une méthode endoscopique qui permet de traiter les calculs situés dans l’uretère ou le rein. Sous anesthésie générale, une fine caméra est insérée par les voies naturelles, remontant jusqu’à l’uretère. Une fois le calcul localisé, il peut être fragmenté avec un laser et retiré. Cette intervention est peu invasive et permet une récupération rapide du patient.
Lithotritie extracorporelle par ondes de choc (LEC)
La lithotritie extracorporelle par ondes de choc (LEC) est une méthode non invasive qui utilise des ondes de choc pour fragmenter les calculs rénaux. Ces ondes, envoyées à travers la peau, cassent le calcul en petits morceaux qui peuvent être éliminés naturellement par les urines. Plusieurs séances peuvent être nécessaires pour fragmenter complètement le calcul.
Néphrolithotomie percutanée : Une intervention pour les gros calculs
La néphrolithotomie percutanée est une intervention plus invasive, réservée aux calculs de grande taille ou aux calculs compliqués. Elle consiste à faire une petite incision dans le dos pour accéder directement au rein et retirer le calcul. Cette méthode nécessite une anesthésie générale et une hospitalisation, mais elle est très efficace pour traiter les calculs volumineux ou en cas d’échec des méthodes moins invasives.
Chirurgie ouverte : Cas rares et complexes
La chirurgie ouverte est une technique désormais rare, réservée aux cas les plus complexes, lorsque toutes les autres méthodes ont échoué ou lorsque les calculs sont particulièrement volumineux ou difficiles d’accès. Elle implique une incision plus large pour accéder directement au rein ou à l’uretère et retirer le calcul. Grâce aux avancées des techniques mini-invasives, la chirurgie ouverte est de moins en moins pratiquée, mais elle reste une option pour les situations exceptionnelles.
Prévention des récidives de colique néphrétique
L’hydratation est l’un des moyens les plus efficaces pour prévenir les récidives de colique néphrétique. Boire suffisamment d’eau permet de diluer les minéraux présents dans les urines, réduisant ainsi le risque de formation de nouveaux calculs. Il est recommandé de boire au moins 2 litres d’eau par jour, et davantage en cas de forte chaleur ou d’activité physique.
Pour optimiser l’hydratation, répartissez votre consommation d’eau tout au long de la journée et évitez de consommer de grandes quantités d’un seul coup.
Conseils alimentaires pour réduire le risque de calculs
L’alimentation joue un rôle clé dans la prévention des calculs rénaux. Une alimentation équilibrée et adaptée peut diminuer significativement le risque de récidive.
Aliments à éviter et à privilégier
- À éviter : Limitez la consommation d’aliments riches en oxalates, tels que les épinards, la rhubarbe, le chocolat, et les noix, car ils peuvent favoriser la formation de calculs d’oxalate de calcium. Réduisez également les apports en sel et en protéines animales, car ils peuvent augmenter le taux de calcium et d’acide urique dans les urines.
- À privilégier : Consommez des fruits et légumes riches en fibres. Ne supprimez pas le calcium de votre alimentation. Consommez 2 à 3 produits laitiers par jour. Les produits laitiers, sources naturelles de calcium, peuvent aussi aider à lier les oxalates dans le tube digestif.
Suivi régulier avec un urologue pour une prévention efficace
Un suivi régulier avec un urologue est essentiel pour prévenir les récidives de colique néphrétique. Un spécialiste pourra vous conseiller sur les mesures à adopter en fonction de votre historique médical et de la composition de vos calculs. Le suivi permet également de détecter d’éventuels calculs à un stade précoce, avant qu’ils ne causent une obstruction.
Quand consulter un urologue pour une colique néphrétique ?
Il est important de consulter un urologue dès l’apparition de symptômes évocateurs d’une colique néphrétique, tels qu’une douleur lombaire intense, une hématurie visible, des nausées et des vomissements.
Si la douleur est trop forte, vous serez souvent amenés à vous rendre aux urgences. Dans ce cas, il est très important de voir un urologue dans les 48 à 72 Heures suivant votre sortie pour définir la meilleure stratégie de traitement du calcul.
Une fièvre associée à une douleur aiguë doit être considérée comme une urgence absolue, car elle peut indiquer une infection rénale sévère.
Prise de rendez-vous rapide en cas de colique néphrétique
En cas de crise aiguë, il est conseillé de prendre rapidement rendez-vous avec un urologue pour une évaluation complète. À l’Institut d’Urologie de Marne la Vallée, le Dr Bahi propose des consultations rapides pour une prise en charge efficace des coliques néphrétiques. Un rendez-vous rapide permet d’obtenir un diagnostic précis et de déterminer le traitement approprié pour soulager la douleur et éviter des complications.
Rôle du suivi médical pour éviter les récidives
Un suivi médical régulier est crucial pour surveiller l’état des reins et prévenir la formation de nouveaux calculs. Grâce à des consultations régulières, l’urologue pourra ajuster les recommandations en fonction de l’évolution de votre état de santé et des éventuelles modifications dans la composition de vos calculs. Ce suivi permet également de mettre en place des mesures préventives personnalisées pour minimiser le risque de récidive.
Importance d’un bilan métabolique après une première crise
Après une première crise de colique néphrétique, un bilan métabolique est recommandé pour analyser la composition des calculs et identifier les facteurs de risque individuels. Ce bilan comprend des analyses de sang et d’urine, permettant de déterminer si des déséquilibres métaboliques (comme un excès de calcium, d’oxalates, ou d’acide urique) favorisent la formation des calculs. Sur la base de ces résultats, l’urologue pourra proposer des ajustements alimentaires et, si nécessaire, des traitements médicaux adaptés.
Prenez en main votre santé rénale
Pour réduire le risque de coliques néphrétiques, il est essentiel d’adopter une hygiène de vie adaptée. Buvez suffisamment d’eau tout au long de la journée, maintenez une alimentation équilibrée en limitant les aliments riches en oxalates, sel, et protéines animales, et pratiquez une activité physique régulière pour favoriser une bonne circulation sanguine. Surveillez également votre poids et évitez les régimes trop restrictifs ou déséquilibrés.
Contactez l’Institut d’Urologie de Marne la Vallée pour un rendez-vous rapide
Si vous souffrez de symptômes évoquant une colique néphrétique ou si vous souhaitez prévenir une récidive, n’hésitez pas à contacter l’Institut d’Urologie de Marne la Vallée pour un rendez-vous rapide avec le Dr Bahi.
Notre équipe spécialisée vous accompagne dans la prise en charge et la prévention des calculs rénaux, avec des conseils personnalisés pour préserver votre santé rénale.
Prenez rendez-vous dès aujourd’hui pour une consultation et bénéficiez d’une expertise médicale de qualité.
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